𝗔𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗱é𝘃𝗮𝗹𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗯𝘂𝗿𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 !
🔻Plus d’employés travaillent de la maison
🔻Les baux dans les tours sont renouvelés avec une superficie réduite
🔻La valeur des immeubles à bureaux s’effrite
🔻Les recettes tirées des taxes foncières reculent et ç'a un impact sur le budget de la ville
À Montréal, ce à quoi on assiste pour le moment cependant, c’est à la montée en gamme des locataires. Les utilisateurs de bureaux profitent de l’échéance de leur bail pour réduire leur superficie et déménager dans un immeuble plus récent.
En revanche, les immeubles plus vieux, de catégories B et C, vont souffrir. C'est du moins ce que prédisent certains acteurs du milieu.
Dans de telles circonstances, gageons que la ville ira chercher une contribution foncière accrue dans le résidentiel en plus d'imposer de nouveaux frais.